La régulation crypto, l’ensemble des lois et contrôles imposés aux cryptomonnaies par les États et les organismes internationaux. Also known as cadre juridique blockchain, it est devenue une force aussi incontournable que le marché lui-même. Ce n’est plus une question de "si" mais de "comment". En 2025, les pays ne cherchent plus à interdire les crypto, ils veulent les contrôler. Et ça change tout pour vous, que vous détenez du Bitcoin, du Monero, ou simplement des stablecoins pour envoyer de l’argent.
La FATF, l’organisme international qui fixe les normes anti-blanchiment pour les pays membres. Also known as Groupe d’action financière, it a mis la pression sur les monnaies privées comme Monero, une cryptomonnaie conçue pour cacher les transactions. Also known as XMR, it et Zcash, un autre protocole qui masque les adresses et les montants. Also known as ZEC, it. Ces deux tokens ne sont plus simplement "difficiles à suivre" — ils sont devenus des cibles légales. Les échanges les plus grands les ont déjà retirés. Ce n’est pas une menace lointaine : si vous en détenez, vous risquez de ne plus pouvoir les vendre légalement dans certains pays.
Et puis il y a les stablecoins, des cryptomonnaies reliées à des devises réelles comme le dollar ou l’euro. Also known as tokens garantis, it. Ils sont partout : pour les transferts internationaux, pour contourner les sanctions en Iran ou en Russie, pour éviter les restrictions au Bangladesh. Mais les autorités ne les voient plus comme des outils utiles. Elles les voient comme des failles dans leur système bancaire. En 2025, les gouvernements exigent que les échanges vérifient l’origine de chaque dollar de stablecoin. Pas de trace ? Pas de retrait. Pas de compte. C’est déjà la règle dans l’UE, et ça va s’étendre.
La régulation crypto, l’ensemble des lois et contrôles imposés aux cryptomonnaies par les États et les organismes internationaux. Also known as cadre juridique blockchain, it n’est pas juste une question de sécurité. C’est aussi une question d’impôts crypto, les taxes que vous devez payer sur vos gains en cryptomonnaies. Also known as taxation crypto, it. En France, au Portugal, à Dubaï — chaque pays a sa propre règle. Et les autorités commencent à échanger des données entre elles. Votre transaction sur Binance en 2024 peut être retracée en 2025 par votre fisc local. Ce n’est plus un secret. Ce n’est plus une option. C’est une obligation.
Vous trouverez ici des analyses concrètes sur ce que ces règles signifient pour vous. Comment les Iraniens contournent les blocages. Pourquoi le Bangladesh a plus d’utilisateurs que de banques. Comment les stablecoins rémunérés comme USDM changent la donne. Et pourquoi certains airdrops sont des pièges légaux en 2025. Ce n’est pas du théorique. C’est du terrain. Ce que vous allez lire, c’est ce que les gens vivent chaque jour, loin des discours politiques. Ce que vous devez savoir avant de faire votre prochain mouvement.
La Turquie autorise le trading de cryptomonnaies mais interdit leur usage comme moyen de paiement. À partir de février 2025, de nouvelles règles renforcent le contrôle étatique, avec des exigences financières élevées et des pouvoirs de gel de comptes. Les utilisateurs s'adaptent, mais la liberté diminue.
6
La CNBV régule les institutions financières mexicaines qui veulent proposer des services crypto, mais la Banque du Mexique bloque tout usage réel. Résultat : un marché florissant en dehors du système, et une régulation en suspens.
6
La SEC a imposé 4,68 milliards de dollars d'amendes en 2024 contre des entreprises de crypto, principalement à cause de Terraform Labs. Ce record marque la fin d'une ère agressive et le début d'une nouvelle stratégie plus ciblée sur la fraude, pas sur les formalités.
13
En 2025, la Macédoine du Nord n'interdit pas les cryptomonnaies, mais ne les régule pas non plus. Un cadre légal flou pousse les utilisateurs vers des plateformes étrangères, tandis que le gouvernement prépare une loi inspirée de l'UE pour 2026.
1
