Quand on parle de crypto, des actifs numériques basés sur la blockchain qui permettent des transactions sans intermédiaire. Also known as cryptomonnaie, it sont devenues une partie du paysage financier, mais pas toutes égales. La plupart des gens pensent que la crypto, c’est Bitcoin. Mais en réalité, il y a des milliers de projets — certains utiles, la plupart sans valeur réelle. Certains, comme USDM, un stablecoin rémunéré par des obligations d’État américaines qui paie 5 % par an automatiquement, changent la donne. D’autres, comme POTS, un airdrop fantôme qui n’existe pas, sont des arnaques pures. Et puis il y a les coins qui survivent malgré tout, comme ceux utilisés au Bangladesh ou en Iran, où les gens les emploient pour survivre aux restrictions financières.
La blockchain n’est pas qu’un mot à la mode. C’est un système qui permet de suivre chaque euro, chaque dollar, chaque token d’un bout à l’autre. C’est pourquoi les données on-chain, les traces laissées par les transactions sur la blockchain sont devenues un outil de prédiction pour les pros. Ils regardent où les gros portefeuilles déposent ou retirent leurs fonds, comment les stablecoins, des cryptomonnaies liées à des actifs réels comme le dollar circulent, ou encore si des investisseurs déplacent leur argent d’un protocole DeFi à un autre — ce qu’on appelle le capital mercenaire, des traders qui cherchent les récompenses les plus hautes, puis partent avant que le projet ne s’effondre. Ces mouvements ne sont pas des mystères. Ils sont visibles. Et ils prédisent souvent ce qui va se passer avant que les médias n’en parlent.
En 2025, la crypto n’est plus une mode. C’est un terrain miné. Certains y trouvent des opportunités réelles : des pays comme Malte ou Dubaï offrent des régimes fiscaux avantageux, des projets comme BlueMove ou Mountain Protocol apportent de la fonctionnalité, et des outils comme Token Sniffer aident à éviter les rug pulls. Mais la majorité des tokens sont des fantômes : sans équipe, sans utilité, sans liquidité. Mononoke Inu, PacMoon, Curio Gas Token — autant de noms qui ne valent plus rien. Et les airdrops ? La plupart sont des pièges. Si quelqu’un vous promet du POTS ou du PNDR, c’est une arnaque. Si on vous dit que Safe est une crypto à acheter, vous êtes sur une fausse piste. La vraie crypto, c’est celle qui a du fondement, de la transparence, et une raison d’exister au-delà du hype. Ce que vous trouverez ici, c’est une sélection claire, sans filtre, sans fioritures : des analyses réelles, des pièges démasqués, et les vrais leviers pour ne pas perdre votre argent.
HYDRA Dex est un échange décentralisé presque inutilisé en 2025, avec un volume nul, une liquidité absente et aucune communauté. Même son token HYDRA est en baisse constante. Évitez-le pour des alternatives fiables comme Uniswap ou PancakeSwap.
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AmsterdamCoin (AMS) était une cryptomonnaie mineable lancée en 2015 avec un mécanisme PoW/PoS. Elle a disparu en 2024 sans avertissement. Voici pourquoi elle a échoué et ce qu’il faut en retenir.
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Uniswap v3 sur Soneium est un échange décentralisé conçu pour les fans de Sony, d'anime et de NFT d'idols. Avec des frais ultra-bas et des jetons exclusifs, il offre une expérience unique, mais avec des délais de retrait de 7 jours et peu de liquidité.
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