Le trading crypto illégal, l’activité d’achat, de vente ou d’échange de cryptomonnaies dans un pays où elle est expressément interdite par la loi. Also known as trading de crypto sous le radar, it se produit quand les particuliers utilisent des plateformes étrangères ou des méthodes décentralisées pour contourner les restrictions nationales. Ce n’est pas une question de technologie, mais de loi. Et dans plusieurs pays, cette loi est claire : pas de crypto. Pourtant, des millions de gens continuent à trader. Pourquoi ? Parce que la crypto leur permet d’échapper à l’inflation, aux contrôles des changes, ou simplement à un système financier qui les exclut.
Le Bangladesh, un pays où les banques interdisent les transactions en crypto depuis 2021. Also known as marché noir de la blockchain, it abrite plus de 3,1 millions d’utilisateurs qui envoient des transferts d’argent via des stablecoins comme USDT. De même, le Iran, sous sanctions financières internationales. Also known as réseau de survie numérique, it a fait du Bitcoin et du DAI sa monnaie de secours pour acheter de la nourriture, payer les factures, et envoyer de l’argent à l’étranger. En Russie, les particuliers ne peuvent pas légalement acheter de crypto, mais les entreprises et les institutions le font en masse pour contourner les sanctions. Ce n’est pas du vol. C’est de la survie. Et ces cas ne sont pas des exceptions : ils révèlent une vérité plus grande : quand la loi bloque l’accès à la finance, les gens trouvent un autre chemin.
Mais attention : ce qui est illégal n’est pas toujours dangereux, et ce qui est dangereux n’est pas toujours illégal. Beaucoup de plateformes qui prétendent permettre un "trading libre" sont en réalité des arnaques. Des sites comme Triunits Exchange ou des airdrops fictifs comme POTS ou RACA × Cambridge n’existent que pour voler vos fonds. Ils profitent du désespoir des gens qui veulent contourner les interdictions. La loi peut être injuste, mais les escrocs ne sont pas une solution. Le vrai risque n’est pas la police, c’est le code malveillant, le site piraté, ou le jeton qui s’effondre à zéro.
Si vous vivez dans un pays où la crypto est interdite, vous avez deux choix : vous en tenir à des méthodes ultra-sécurisées, ou éviter complètement. Pas de "petits risques". Pas de "je vais juste tester". Les régulateurs ne font pas de distinction entre un trader occasionnel et un gros investisseur. Et les plateformes qui vous disent "on ne demande pas d’identité" ne sont pas des amis — elles sont des pièges. Ce que vous trouverez ici, ce ne sont pas des astuces pour contourner la loi. Ce sont des exemples réels de ce qui se passe quand la loi échoue, des analyses de projets morts, des alertes sur des arnaques qui exploitent la confusion, et des pistes pour comprendre pourquoi certains pays tolèrent l’illégalité sans jamais la légaliser.
En 2025, la Tunisie interdit totalement les cryptomonnaies. Trading, mining, paiement : tout est illégal. Les risques incluent jusqu'à cinq ans de prison, la saisie des actifs et le gel des comptes bancaires. Des milliers de Tunisiens continuent malgré tout, au péril de leur liberté.