Le VDA, Virtual Digital Asset, désigne les actifs numériques comme les cryptomonnaies, les NFT et les jetons non fongibles en Inde. Also known as actifs numériques virtuels, il s'agit du cadre légal que l'Inde a mis en place en 2022 pour taxer et encadrer les échanges de crypto sans les interdire. Contrairement à ce que beaucoup pensent, l'Inde n'a pas banni les cryptomonnaies — elle les a simplement mises sous surveillance fiscale stricte.
Le RBI, la Banque centrale indienne, n'a jamais autorisé les cryptomonnaies comme moyen de paiement, mais elle n'a pas non plus empêché les particuliers de les acheter ou de les conserver. Also known as Reserve Bank of India, elle a laissé le terrain libre aux plateformes d'échange, ce qui a conduit à l'essor de bourses comme ProBit, une exchange populaire en Inde pour les altcoins peu régulées, souvent utilisée pour contourner les limites des plateformes locales ou Bilaxy, un échange qui, malgré ses problèmes de retraits, reste actif dans certains cercles indiens. Ce vide réglementaire a créé un marché gris : les gens achètent, vendent, et paient des impôts — mais sans protection légale réelle.
En 2025, chaque transaction de crypto en Inde est soumise à un impôt de 30 % sur les gains, plus une taxe de 1 % sur chaque achat. Pas de déduction possible. Pas de compensation sur les pertes. Même si vous avez perdu 10 000 € sur un jeton, vous devez payer 30 % sur les 2 000 € que vous avez gagnés sur un autre. C'est un système conçu pour générer des recettes, pas pour protéger les investisseurs. C'est aussi pourquoi des projets comme VDA Inde sont souvent liés à des airdrops douteux ou des échanges sans KYC — les gens cherchent à éviter la traçabilité.
Les utilisateurs indiens sont de plus en plus avertis. Ils savent que si un projet n'a pas de volume, pas d'équipe, et un token qui ne sert à rien — comme Hush ou TAUM — il ne vaut pas la peine de le suivre, même si l'airdrop semble gratuit. Ils comprennent que la sécurité, c'est d'abord de ne pas mettre d'argent dans des plateformes comme Muda Crypto Exchange, qui n'existe pas, ou ONUS Pro, qui ne sert qu'au Vietnam. Ce qui compte, c'est de savoir où trader, comment déclarer, et surtout, comment ne pas se faire avoir.
Dans cette collection, vous trouverez des analyses réelles sur les échanges utilisés en Inde, les arnaques courantes, les impôts à payer, et les projets qui ont disparu sans laisser de trace. Pas de théorie. Pas de promesses. Juste ce que les gens ont vécu — et ce qu'il faut éviter en 2025.
En Inde, les cryptomonnaies sont légales mais fortement taxées : 30 % sur les gains, 18 % de GST, et 1 % de retenue à la source. Pas de monnaie légale, mais un contrôle fiscal strict. Voici comment ça fonctionne en 2025.