Quand vous achetez une cryptomonnaie, vous ne négociez pas juste un actif numérique — vous entrez dans un risque juridique crypto, l’ensemble des conséquences légales et fiscales liées à l’usage, à la détention ou à la transaction de cryptomonnaies. Also known as régulation crypto, it affects everything from your taxes to whether you can even legally hold certain tokens. La plupart des gens pensent que la crypto est une zone grise, mais en réalité, les règles sont de plus en plus précises — et les sanctions, de plus en plus sévères.
En France, par exemple, vous devez déclarer vos gains crypto sur votre déclaration d’impôts, et si vous utilisez un échange étranger, vous devez aussi remplir un formulaire spécifique. Mais ce n’est pas tout. Certains tokens, comme ceux qui ressemblent à des actions ou à des obligations (comme IWMon, un jeton tokenisé qui réplique un ETF américain sur la blockchain), sont classés comme valeurs mobilières. Cela signifie que leur émission ou leur vente peut être illégale si elle n’est pas autorisée par l’AMF. Et si vous pensez que les impôts crypto, les taxes appliquées aux gains réalisés sur les actifs numériques ne concernent que les gros investisseurs, détrompez-vous : même un petit gain de 500 € sur un airdrop peut être vérifié par les autorités fiscales.
Les pays ne sont pas tous pareils. En Iran, les gens utilisent le Bitcoin pour survivre sous sanctions, mais ils risquent la prison si on les attrape. Au Bangladesh, des millions d’utilisateurs transigent en stablecoins malgré une interdiction totale — et personne ne les poursuit… pour l’instant. Mais cette absence de répression ne signifie pas la légalité. Et en Russie, le gouvernement utilise les cryptos pour contourner les sanctions… tout en interdisant leur usage aux particuliers. Ce paradoxe n’est pas une erreur : c’est une stratégie. Et vous, vous êtes dans la ligne de mire.
Les arnaques ne sont pas que des escroqueries financières. Elles sont aussi des pièges juridiques. Si vous investissez dans un token comme SAFE, un nom souvent confondu avec un portefeuille multi-signatures, mais qui n’existe pas comme cryptomonnaie, vous pourriez involontairement participer à une activité illégale. Même si vous ne saviez pas, la loi ne vous excuse pas. Les plateformes comme Triunits Exchange ou les airdrops fantômes comme POTS n’existent pas — mais les faux sites, eux, sont réels. Et ils collectent vos données, vos clés, et parfois, vos identifiants bancaires.
La bonne nouvelle ? Vous pouvez vous protéger. En comprenant où vous êtes légalement, en évitant les tokens sans fondement, en déclarant vos gains, et en ne suivant pas les promesses de rendements garantis. Ce que vous allez trouver ici, ce ne sont pas des théories abstraites. Ce sont des cas réels, des lois concrètes, et des avertissements tirés de l’expérience de ceux qui ont déjà perdu — en argent, et en liberté.
En 2025, la Tunisie interdit totalement les cryptomonnaies. Trading, mining, paiement : tout est illégal. Les risques incluent jusqu'à cinq ans de prison, la saisie des actifs et le gel des comptes bancaires. Des milliers de Tunisiens continuent malgré tout, au péril de leur liberté.