Quand un pays interdit la mine crypto, l'activité de validation des transactions blockchain via des équipements informatiques pour obtenir des récompenses en cryptomonnaies. Also known as minage de crypto, it mining de blockchain et est souvent ciblé pour son impact énergétique et son échappatoire aux systèmes financiers traditionnels. Cela ne signifie pas pour autant que ça s’arrête. En fait, dans plusieurs pays où la mine est officiellement interdite, les mineurs continuent — souvent en silence, en utilisant des installations cachées, des énergies non déclarées, ou en se tournant vers des cryptomonnaies plus discrètes comme Monero.
La régulation crypto, l'ensemble des lois et contrôles mis en place par les gouvernements pour encadrer l'utilisation, le trading et l'extraction de cryptomonnaies. ne suit pas toujours la réalité. Par exemple, au Bangladesh, un pays qui a interdit les cryptomonnaies en 2021 mais où plus de 3 millions de personnes les utilisent malgré tout., les gens utilisent des stablecoins pour envoyer de l’argent à l’étranger. En Iran, un pays sous sanctions financières où la cryptomonnaie est devenue une lifeline économique., le mining continue grâce à des subventions énergétiques locales. Même dans des pays comme la Chine, où l’interdiction a été totale, certains mineurs ont déplacé leurs équipements au Kazakhstan, au Canada ou en Géorgie — pas pour éviter la loi, mais pour survivre.
Les gouvernements pensent que bannir le mining va stopper les flux de crypto. Mais ce n’est pas comme fermer un robinet. C’est comme essayer d’arrêter l’eau avec un seau : tant qu’il y a de l’électricité bon marché et des gens prêts à prendre des risques, le mining trouve un moyen de continuer. Ce qui change, c’est la forme : des fermes clandestines dans des entrepôts, des mineurs qui utilisent des panneaux solaires, ou des projets qui se déplacent vers des blockchains moins gourmandes. Ce n’est pas une guerre contre la technologie — c’est une guerre contre l’innovation économique.
Dans cette collection, vous trouverez des analyses concrètes sur les pays où la mine est interdite mais où elle prospère malgré tout, les plateformes qui profitent de ces zones grises, et les cryptomonnaies que les mineurs privilégient pour rester sous le radar. Vous verrez aussi comment des projets comme Monero ou Zcash deviennent les outils de choix quand la surveillance s’accentue. Ce n’est pas une question de légalité — c’est une question de résilience.
La Norvège a interdit les nouvelles mines de crypto-monnaies pour préserver son électricité renouvelable. Le gouvernement estime que ces activités consomment trop d'énergie sans apporter de bénéfices locaux. Les mines existantes peuvent continuer, mais doivent s'enregistrer.