Quand on parle de SafeMoon, un token crypto créé en 2021 avec un modèle économique basé sur des taxes sur chaque transaction. Also known as SFM, it a été conçu pour récompenser les détenteurs en redistribuant une partie des frais de transaction. Mais derrière ce joli discours, les tokenomics de SafeMoon sont une machine à épuiser les petits investisseurs. Ce n’est pas une innovation, c’est un piège bien huilé.
Le système repose sur trois leviers : une taxe de 10 % sur chaque vente, une redistribution automatique aux détenteurs, et une part réservée à un « wallet de liquidité, un fonds bloqué censé garantir la valeur du token ». En théorie, ça semble juste. En pratique, la liquidité est souvent vidée, les détenteurs reçoivent des tokens de moins en moins précieux, et les gros porteurs vendent en masse. Le rug pull, une escroquerie où les créateurs abandonnent le projet après avoir drainé les fonds est une menace constante. Des projets comme SafeMoon n’ont jamais eu de véritable utilité : pas de décentralisation, pas de communauté active, juste des graphiques en forme de montagnes russes.
Les données on-chain montrent que plus de 80 % des tokens sont détenus par moins de 10 portefeuilles. La majorité des utilisateurs perdent de l’argent, mais continuent d’acheter, attirés par les promesses de rendements. Ce n’est pas de la finance, c’est du jeu. Et comme dans tout jeu, la maison gagne toujours. Ce que vous trouverez ici, c’est une collection d’analyses concrètes sur les mécanismes de SafeMoon, les arnaques qui l’entourent, et comment éviter les prochains projets qui copient ce modèle. Pas de théorie, juste ce que vous devez savoir pour ne pas être le prochain à payer le prix fort.
SafeMoon lance un nouvel airdrop en 2025 avec un nouveau jeton distribué progressivement. Découvrez comment fonctionne le système de récompense, les risques liés à son passé criminel, et comment participer légitimement à l'airdrop sans tomber dans les arnaques.
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