Quand on parle de restrictions sur les cryptomonnaies, les limites légales, géographiques ou techniques qui encadrent l’usage des actifs numériques. Also known as régulation crypto, it décide qui peut trader, miner ou lancer un jeton, et où. Ce n’est pas une question de théorie : en 2025, des pays entiers bloquent les mines, des échanges disparaissent sans préavis, et des airdrops promettent des fortunes… pour vous voler vos clés privées.
Les restrictions géographiques, les règles imposées par un pays sur l’usage des cryptos varient du total silence à l’interdiction totale. La Norvège a bloqué les nouvelles mines pour préserver son électricité verte. La Macédoine du Nord n’interdit rien… mais n’autorise rien non plus, poussant les gens vers des plateformes étrangères sans protection. Au Mexique, la CNBV régule les banques, mais la Banque du Mexique refuse que les cryptos soient utilisées comme moyen de paiement. Résultat ? Un marché noir florissant. Et dans ce vide, des plateformes comme Fmall Exchange, une plateforme sans trace légale, sans équipe, sans sécurité ou Spectre Crypto Exchange, un token sans liquidité, sans échange réel, juste un nom qui ressemble à un vrai service pullulent. Elles ne sont pas des échanges. Elles sont des pièges.
Les restrictions techniques, les limites imposées par la conception même d’un projet existent aussi. Certains jetons comme AmsterdamCoin (AMS), une crypto disparue sans explication en 2024 ou MustangCoin (MST), une crypto sans volume, sans communauté, sans avenir ont été abandonnés. Leur code est mort. Leur site est inactif. Leur token ne vaut plus rien. Et pourtant, des gens continuent de les chercher. Pourquoi ? Parce qu’ils ne savent pas comment reconnaître un projet mort. Les airdrops, les distributions gratuites de jetons, sont devenus le terrain de chasse des arnaques. L’airdrop CANU n’existe pas. L’airdrop ASK de Permission.io, lui, est réel. La différence ? Une équipe publique, une technologie vérifiable, une traçabilité. Sans ça, c’est une arnaque. Et les plateformes comme CCXCanada, un échange inactif depuis 2025 ou Bittrex Global, en liquidation officielle en avril 2025, vous montrent ce qui arrive quand la transparence manque.
Vous ne voulez pas perdre votre argent sur un projet fantôme, une plateforme sans régulation, ou un airdrop qui vous demande de déverrouiller votre portefeuille. Ce que vous trouverez ici, c’est une liste d’articles qui démontent les pièges réels, les échanges morts, les pays où vous risquez de vous retrouver en zone grise, et les jetons qui ne valent plus rien. Pas de théorie. Pas de jargon. Juste des faits, des noms, et des avertissements concrets. Vous allez voir pourquoi certains échanges sont à éviter, pourquoi certaines cryptos ont disparu, et comment éviter de tomber dans les mêmes pièges que des milliers d’autres.
La Turquie autorise le trading de cryptomonnaies mais interdit leur usage comme moyen de paiement. À partir de février 2025, de nouvelles règles renforcent le contrôle étatique, avec des exigences financières élevées et des pouvoirs de gel de comptes. Les utilisateurs s'adaptent, mais la liberté diminue.