Quand on parle d’interdiction crypto Tunisie, l’interdiction officielle des cryptomonnaies par les autorités tunisiennes depuis 2018. Also known as blocage des transactions crypto, it n’empêche pas les Tunisiens d’utiliser Bitcoin, USDT ou d’autres actifs numériques pour survivre à l’instabilité économique. Ce n’est pas une simple règle de bureau. C’est un défi quotidien pour des milliers de personnes qui n’ont pas d’autre choix.
La Tunisie a interdit les cryptomonnaies parce qu’elle veut contrôler les flux financiers et éviter la fuite de devises. Mais les gens ont trouvé des solutions. Beaucoup utilisent des stablecoins, comme le USDT sur la blockchain Tron ou Ethereum. Also known as monnaies numériques à valeur stable, it permettent d’envoyer de l’argent à l’étranger sans passer par les banques, souvent bloquées ou lentes. Les transferts d’argent des Tunisiens à l’étranger, surtout en Europe, ont explosé depuis 2020 — et la plupart passent par des plateformes P2P, pas par les banques. Ce n’est pas de la rébellion. C’est de la survie.
Les autorités ne peuvent pas arrêter tout le monde. Elles bloquent des sites, mais pas les portefeuilles. Elles menacent des amendes, mais pas les transferts en cash via Telegram. Ce qui compte, c’est l’usage réel. Des études locales estiment que plus de 1,2 million de Tunisiens ont déjà utilisé une cryptomonnaie. Ce n’est pas un phénomène marginal. C’est un système parallèle, organisé, et très pratique. Le problème, c’est que personne n’est protégé. Pas de régulation, pas de recours en cas de fraude, pas de garantie. Vous utilisez le Bitcoin ? Vous êtes seul.
Et pourtant, les gens continuent. Pour payer un médecin à l’étranger. Pour envoyer de l’argent à sa famille. Pour éviter l’inflation galopante du dinar. La régulation crypto, c’est ce que les gouvernements essaient d’imposer pour contrôler les marchés. Also known as cadre légal des actifs numériques, it n’a pas encore réussi à rattraper la réalité des utilisateurs. En Tunisie, elle n’a fait qu’alimenter le marché noir. Ce que vous trouverez ici, ce ne sont pas des guides pour contourner la loi. Ce sont des témoignages concrets, des analyses de projets échoués, des alertes sur les arnaques qui pullulent dans ce vide juridique. Vous voulez savoir comment les gens font ? Comment ils évitent les pièges ? Comment certains ont perdu tout leur argent en croyant à un airdrop fantôme ? C’est ce que vous allez découvrir dans les articles suivants.
En 2025, la Tunisie interdit totalement les cryptomonnaies. Trading, mining, paiement : tout est illégal. Les risques incluent jusqu'à cinq ans de prison, la saisie des actifs et le gel des comptes bancaires. Des milliers de Tunisiens continuent malgré tout, au péril de leur liberté.