Quand vous vendez, échangez ou recevez des cryptomonnaies, des actifs numériques utilisés comme moyen d’échange ou d’investissement, souvent basés sur une blockchain. Also known as actifs numériques, they sont soumises à l’impôt en France. Ce n’est pas une option, c’est une obligation. Beaucoup pensent que parce que les cryptomonnaies sont décentralisées, elles échappent aux règles fiscales. C’est faux. L’administration fiscale suit les transactions, même sur les échanges décentralisés. Si vous avez fait un gain, même minime, vous devez le déclarer.
Le gain en capital, la différence entre le prix d’achat et le prix de vente d’un actif sur vos cryptomonnaies est taxé à 30 %, soit 12,8 % d’impôt sur le revenu + 17,2 % de prélèvements sociaux. C’est le prélèvement forfaitaire unique (PFU). Si vous avez vendu moins de 305 € de cryptomonnaies sur l’année, vous êtes exonéré. Mais attention : si vous avez fait plusieurs petites ventes, elles s’additionnent. Un airdrop de 50 €, un échange de Bitcoin contre Ethereum, un retrait sur un échange étranger… tout ça compte. Même si vous n’avez pas converti en euros, l’échange entre deux cryptos est une opération taxable. Et si vous avez reçu des jetons en échange d’un service ou d’un travail, c’est considéré comme un revenu, pas un gain en capital. Là, ça rentre dans vos revenus professionnels ou assimilés.
Les échanges de crypto, des plateformes où vous achetez, vendez ou échangez des actifs numériques comme Binance, Kraken ou ProBit ne vous envoient pas de relevé fiscal. C’est à vous de tout noter : dates, montants, prix d’achat, prix de vente, frais de transaction. Si vous ne gardez pas de trace, vous ne pourrez pas justifier vos déclarations. Et si vous êtes contrôlé, vous risquez des pénalités jusqu’à 80 % du montant non déclaré. Les outils comme Koinly ou CoinTracker aident à automatiser ça, mais ils ne remplacent pas votre vigilance.
Depuis 2023, la France a renforcé sa surveillance des cryptomonnaies. Les échanges doivent transmettre les données des utilisateurs résidents à l’administration fiscale. Les transactions en dessous de 5 000 € sont toujours concernées si elles génèrent un gain. Le simple fait d’utiliser une crypto pour acheter un café ou un ordinateur peut déclencher une obligation fiscale. Ce n’est pas une taxe sur la possession, c’est une taxe sur le mouvement. Si vous gardez vos BTC depuis 2017 sans les toucher, pas d’impôt. Mais dès que vous les échangez contre quelque chose, même un autre jeton, vous devez déclarer.
Vous avez participé à un airdrop ? C’est imposable au moment où vous recevez le jeton. Vous avez miné du Bitcoin ? C’est un revenu. Vous avez fait du staking et reçu des récompenses ? C’est un revenu. Chaque cas est différent, mais la règle est la même : aucune transaction n’échappe à la fiscalité. Même si vous pensez que personne ne le sait, les données sont collectées, croisées, et vérifiées. Les erreurs de déclaration ont un coût bien plus élevé que les impôts eux-mêmes.
Dans cette collection, vous trouverez des analyses concrètes sur des plateformes comme Bilaxy, ProBit ou dYdX — des échanges où vous avez peut-être fait des transactions. Vous verrez aussi des guides sur des projets comme Hush, ODDZ ou CONV, qui ont pu vous générer des gains ou des pertes. Tous ces sujets, même les plus techniques, ont un lien direct avec votre déclaration fiscale. Ce n’est pas du détail technique : c’est votre argent. Apprenez comment les règles s’appliquent à vos opérations réelles, évitez les pièges, et déclarez en toute sérénité.
En Inde, les cryptomonnaies sont légales mais fortement taxées : 30 % sur les gains, 18 % de GST, et 1 % de retenue à la source. Pas de monnaie légale, mais un contrôle fiscal strict. Voici comment ça fonctionne en 2025.