Quand on parle de GM Informatics, l’ensemble des données, outils et analyses utilisés pour comprendre le comportement du marché crypto en temps réel. Ce n’est pas un projet, ni un token — c’est une approche. On l’applique quand on lit les mouvements des gros portefeuilles, quand on suit les dépôts sur Binance ou quand on vérifie si un airdrop est réel ou une arnaque. C’est ce que vous faites déjà, sans le savoir, chaque fois que vous consultez CoinMarketCap ou que vous vous demandez pourquoi le prix d’un token plonge sans raison.
Le données on-chain, les traces laissées sur la blockchain par les utilisateurs, comme les transferts, les stakings ou les achats massifs. Ce sont ces données qui vous disent si les grands investisseurs vendent ou accumulent, pas les tweets de Elon Musk. C’est aussi ce que vous voyez dans les articles sur le MVRV Z-Score ou les mouvements de gros portefeuilles. Et puis il y a les échanges crypto, les plateformes où vous achetez, vendez ou échangez vos actifs, parfois sans régulation, parfois sans sécurité. Certains, comme Geco.one ou ExtStock, sont construits pour contourner les lois européennes. D’autres, comme Fmall Exchange ou Triunits, n’existent tout simplement pas — ce sont des pièges. La sécurité crypto, la capacité à protéger vos actifs contre les arnaques, les fuites de données et les plateformes frauduleuses. Elle passe par la vérification des équipes, la transparence des contrats, et la présence ou l’absence de mentions sur des registres comme CoinMarketCap. Vous ne pouvez pas faire confiance à un token qui n’a pas de whitepaper, pas de communauté, et un volume de trading plus bas que votre facture d’électricité.
La régulation crypto, elle, est un terrain miné. En Norvège, on bloque les mines pour sauver l’énergie verte. Au Mexique, la CNBV autorise les institutions financières à proposer des services crypto… mais la Banque centrale interdit toute utilisation réelle. Résultat ? Un marché parallèle qui prospère. En Iran, les gens utilisent le DAI pour survivre sous sanctions. Au Bangladesh, 3 millions d’utilisateurs contournent une interdiction totale. Ce n’est pas du hasard. C’est la réalité de GM Informatics : comprendre ce qui se passe réellement, loin des discours marketing.
Vous trouverez ici des analyses concrètes sur les tokens douteux comme WISE, PAC, ou KUKU, des airdrops qui n’existent pas comme POTS, des échanges qui mentent comme Spectre ou ExtStock, et des projets réels comme USDM ou Uniswap v3 sur Soneium. Pas de théorie. Pas de jargon. Juste ce que vous devez savoir pour ne pas perdre votre argent. Ce qui suit, c’est la carte du terrain. À vous de choisir où poser les pieds.
GMCoin (GMCOIN) est un jeton cryptographique créé en 2019 par une entreprise bulgare. Il prétend être la première entreprise tokenisée, mais manque de transparence, de liquidité et de développement. Risque élevé.