Crypto interdite : les cryptomonnaies bannies, les plateformes fantômes et les pièges à éviter

Quand on parle de crypto interdite, une cryptomonnaie ou un projet bloqué par une autorité, une bourse ou une communauté pour des raisons légales, techniques ou éthiques. Also known as cryptomonnaie illégale, it projet fantôme, elle n’est pas simplement inutilisée — elle est souvent abandonnée, volée, ou délibérément conçue pour disparaître. Ce n’est pas une question de prix qui chute. C’est une question de sécurité, de transparence, et parfois de survie. Des projets comme AmsterdamCoin (AMS), une cryptomonnaie mineable lancée en 2015 qui a cessé toute activité sans avertissement en 2024, ou MustangCoin (MST), une crypto avec un algorithme X11 et un système hybride PoW/PoS, désormais sans volume, sans communauté et sans avenir, ne sont pas des échecs. Ce sont des pièges. Et ils ne sont pas les seuls.

Derrière chaque échange de crypto sans régulation, une plateforme qui contourne les lois européennes ou nationales pour offrir des services risqués ou illégaux, il y a une promesse trop belle pour être vraie. Geco.one, Fmall Exchange, Spectre Crypto Exchange — des noms qui n’apparaissent nulle part dans les registres officiels, mais qui pullulent sur les forums et les réseaux sociaux. Ces plateformes ne sont pas des échanges. Ce sont des pièges à argent. Elles n’ont pas d’équipe, pas d’audit, pas de support. Et quand vous voulez retirer vos fonds, elles ont déjà disparu. Même des noms qui semblent sérieux, comme ACSI Finance, une plateforme DeFi qui promet des rendements élevés sans publier ses frais ni son équipe, sont des bombes à retardement. La transparence n’est pas un luxe en crypto. C’est la seule protection que vous avez.

Et puis il y a les restrictions nationales, des lois qui interdisent l’usage des cryptomonnaies comme moyen de paiement, même si le trading reste autorisé. La Turquie, la Norvège, le Mexique — des pays qui ne veulent pas bloquer la technologie, mais qui refusent de la laisser échapper à leur contrôle. La Norvège a interdit les nouvelles mines pour préserver son énergie renouvelable. La Turquie bloque les paiements en crypto mais laisse les traders spéculer. Le Mexique laisse les banques ignorer la crypto, tandis que le marché noir prospère. Ces régulations ne sont pas des interdictions. Ce sont des limites. Et elles changent tout : ce qui était légal hier peut être illégal demain.

Vous trouverez ici des analyses de plateformes qui ont fermé, de jetons qui n’ont jamais existé, et de projets qui ont été démasqués. Des échanges comme Bittrex Global, en liquidation, à CCXCanada, inactive depuis 2025. Des airdrops falsifiés comme CANU, où des sites prétendent vous offrir des jetons gratuits — alors qu’il n’y en a pas. Des tokens comme WISE, qui usurpent le nom d’une entreprise légitime pour piéger les néophytes. Chaque article ici est un avertissement. Pas une leçon théorique. Une alerte concrète, écrite par quelqu’un qui a vu les dégâts. Ce n’est pas un guide pour devenir riche. C’est un guide pour ne pas perdre tout ce que vous avez.

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