Amendes crypto : Ce que vous devez savoir sur les sanctions et les risques fiscaux

Amendes crypto, des pénalités financières imposées pour ne pas déclarer vos actifs numériques ou pour contourner les règles de surveillance. Also known as sanctions fiscales sur les cryptomonnaies, elles ne sont plus une menace théorique — elles sont déjà appliquées en France, en Allemagne, aux États-Unis et même dans des pays comme le Bangladesh où l’usage est officiellement interdit. Si vous avez acheté, vendu, échangé ou détenu des crypto sans déclarer, vous êtes déjà dans le collimateur des autorités. Ce n’est pas une question de "si", mais de "quand".

Les régulation crypto, l’ensemble des lois et normes imposées par les États pour encadrer les actifs numériques ont évolué en 5 ans. En 2025, plus de 80 pays exigent la déclaration des transactions. En France, l’administration fiscale suit les mouvements sur les échanges via des rapports automatiques. Si vous avez utilisé Binance, Kraken ou même un DEX comme Uniswap, vos transactions sont traçables. Et si vous avez ignoré les déclarations, vous risquez une amende de 10 % à 80 % du montant non déclaré, selon la gravité. Certains ont déjà payé plus de 50 000 € pour avoir oublié de déclarer un airdrop ou un gain en staking.

Les sanctions blockchain, des mesures ciblées contre les plateformes ou utilisateurs qui enfreignent les règles de traçabilité ne s’arrêtent pas aux particuliers. Des échanges comme Triunits Exchange ont été fermés pour ne pas avoir mis en place de systèmes de KYC. D’autres, comme ceux qui facilitent les transferts vers des protocoles anonymes comme Monero ou Zcash, sont directement ciblés par l’OFAC ou le FATF. Ce n’est pas une question de "je ne savais pas" — c’est une question de "vous avez ignoré les avertissements".

Et pourtant, beaucoup pensent encore que "c’est invisible". Non. Les conformité crypto, l’ensemble des actions pour respecter les lois fiscales et anti-blanchiment en matière d’actifs numériques ne sont plus optionnelles. Les outils comme Glassnode ou Nansen permettent aux autorités de voir qui a reçu quoi, d’où, et quand. Même les petits gains en DeFi, les récompenses de mining de liquidité, ou les tokens inconnus comme PAC ou CGT doivent être déclarés. Si vous avez touché un airdrop, même s’il valait 5 €, vous avez une obligation légale.

Vous ne voulez pas finir comme les Iraniens qui utilisent le Bitcoin pour survivre aux sanctions — et qui, pourtant, risquent des poursuites si la banque centrale décide de les traquer. Vous ne voulez pas être comme les utilisateurs du Bangladesh qui contournent l’interdiction avec des stablecoins, mais qui pourraient un jour se retrouver avec un compte gelé et une amende de 20 000 €. La crypto n’est pas une zone grise. Elle est de plus en plus encadrée. Et les amendes ne sont pas des menaces de blogueur. Ce sont des lettres officielles, des rejets de déclaration, des saisies bancaires.

Les articles ci-dessous vous montrent exactement où les gens se sont fait piéger : comment des airdrops falsifiés comme POTS ou PNDR ont conduit à des pertes financières, comment des plateformes frauduleuses comme Triunits ont été fermées, et pourquoi même les stablecoins rémunérés comme USDM ne sont pas exemptés de déclaration. Vous trouverez aussi comment des gens ont réduit légalement leurs impôts en se réinstallant à l’étranger — et comment d’autres ont perdu tout leur argent en pensant que la loi ne les concernait pas.

SEC et crypto : explication des 4,68 milliards de dollars d'amendes

SEC et crypto : explication des 4,68 milliards de dollars d'amendes

La SEC a imposé 4,68 milliards de dollars d'amendes en 2024 contre des entreprises de crypto, principalement à cause de Terraform Labs. Ce record marque la fin d'une ère agressive et le début d'une nouvelle stratégie plus ciblée sur la fraude, pas sur les formalités.

13