Quand on parle de cryptomonnaies, des actifs numériques décentralisés qui utilisent la blockchain pour garantir la sécurité et la transparence. Also known as monnaies virtuelles, they are not just digital versions of cash—they can be tools for loyalty, shields against sanctions, or pure gambling tokens with no real use. La plupart des gens pensent que c’est comme acheter des actions. C’est faux. Une cryptomonnaie, c’est soit un outil pratique, soit un pari risqué. Et entre les deux, il y a tout un monde d’arnaques.
Prenez les stablecoins, des cryptomonnaies liées à des actifs réels comme le dollar ou l’or pour éviter la volatilité. USDM, par exemple, est un stablecoin qui vous rapporte 5 % par an simplement en le détenant. Il est garanti par des obligations d’État américaines. C’est une solution sérieuse. À l’opposé, des tokens comme VALUE, PAC ou CGT n’ont aucune utilité, pas de communauté, et une liquidité quasi nulle. Ils existent juste pour faire monter le prix le temps d’un coup de pub. Et quand le promoteur disparaît, vous êtes coincé avec un actif qui vaut zéro. C’est ce qu’on appelle un rug pull, une escroquerie où les créateurs abandonnent le projet après avoir drainé les fonds des investisseurs. Ce n’est pas rare. Sur les 20 projets analysés ici, 14 sont des pièges.
Les airdrops crypto, des distributions gratuites de tokens pour attirer des utilisateurs, sont un autre piège courant. POTS, RACA × Cambridge, PNDR… Aucun n’existe vraiment. Ce sont des rumeurs créées pour attirer du trafic vers des sites frauduleux. Même CoinMarketCap ne fait pas d’airdrops. Et pourtant, des milliers de gens entrent leur clé privée sur des sites bidon en pensant gagner du cash. Le vrai airdrop, c’est quand un projet sérieux vous donne un jeton en échange d’une action simple : suivre sur Twitter, tester une app, ou participer à un testnet. Pas plus.
Et si vous pensez que les échanges de crypto, des plateformes où on achète, vend ou échange des cryptomonnaies sont sûrs, vous vous trompez. Triunits, Cyberbank, Minter… Ces noms ressemblent à des plateformes légitimes, mais ils n’existent pas. Ils copient les logos, les couleurs, les interfaces. Et quand vous déposez vos fonds, ils disparaissent. Les vrais échanges, eux, affichent leurs volumes, leurs frais, leurs audits. Pas de graphiques cassés. Pas de rendements de 300 % par mois.
En 2025, les cryptomonnaies ne sont plus une mode. C’est un terrain miné. Certaines servent à contourner les sanctions en Iran, à envoyer de l’argent au Bangladesh, ou à réduire vos impôts en Malte. D’autres sont des jeux de cartes avec des règles secrètes. Ce que vous allez lire ici, c’est la vérité nue. Pas de flatteries. Pas de promesses. Juste ce que les projets sont vraiment, ce qui les rend dangereux ou utiles, et comment ne pas perdre votre argent en croyant faire un bon coup.
BENJI est un token meme sur Solana, inspiré du chat de Taylor Swift, mais sans lien officiel. Son prix a chuté de plus de 98 %, il n'est pas listé sur les grandes bourses, et il présente un risque légal élevé. À éviter.
Tanox (LTX) est un jeton Solana conçu pour les créateurs de contenu, surtout dans l'industrie adulte. Il offre des frais ultra-bas et des paiements instantanés, mais manque cruellement d'adoption et de liquidité. À tester avec prudence.
Après l'interdiction du minage de Bitcoin en Chine en 2021, les mineurs se sont réinstallés principalement au Kazakhstan et au Texas. Ces régions ont bénéficié d'électricité bon marché et de régulations favorables, redessinant la carte mondiale du minage.
Malgré les sanctions américaines et les restrictions financières, Cuba a légalisé et régulé les cryptomonnaies pour permettre à ses citoyens d'accéder à l'économie mondiale. Bitcoin et Ethereum sont utilisés pour les transferts d'argent, les achats en ligne et le minage écoénergétique.
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